Le Lion d'Angers, le 26 juillet 2007
Par Joe Krapov le samedi 18 février 2012, 13:55 - Lien permanent
Même si mes deux a(l)colytes préférées m'accusent très souvent de sous-estimer le nombre de kilomètres que je leur fais parcourir sur leurs vélos de luxe, ne voyez pas en moi et en elles des masochistes du sport cyclotouriste : on sait très bien que le meilleur moment de tout sport, celui ou ça fait le plus de bien, c'est quand ça s'arrête et que, après l'effort, vient le réconfort ! Alors le tire-bouchon prend modèle sur le général de Gaulle et lance : "Vive l'Anjou libre !".
Commentaires
Ah, ah, ah, la douceur angevine !
C'était elle, ta première copine ?
@Joye : ;-)))))))))Ah la la ! ces soeurs jumelles qui veulent tout savoir. Bien sûr que la réponse est oui. Elle s'appelait Hilda mais je crois qu'elle et moi avons pris de la bouteille, depuis ! ;-))))))))))))))))))
Boire ou écrire,
Il faut choisir.
@Joye : Si, on peut faire les deux mais... il ne faut pas tremper sa plume dans son verre de vin et il ne faut pas renverser le verre sur le cahier ! ;-)
On voit que tu ne connais pas le tinto local d'Alverca, Joe. Je remplissais toujours mon stylo de ce liquide mauve (à défaut de pouvoir le boire).
Il valait effectivement mieux ne pas le renverser sur le cahier...
@Walrus : C'est un vin qui sert d'encre... sympathique ? Ou pas ?;-)
Je ne suis effectivement jamais descendu plus bas que San Sebastian, un jour de pluie battante. Mais à entendre le fado, on dirait que les Portugais ont le vin triste ! Mais je déconne encore :
http://www.youtube.com/watch?v=RV1t...
Oh, Amália, la condisciple de mon ami Rebello !