Les voiliers de Belle-Île-en-Mer le 13 mai 2010 (1)
Par Joe Krapov le vendredi 28 mai 2010, 21:57 - Lien permanent
ALDONZA LA PAIENNE
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J’ai le souffle puissant et le verbe cinglant
De ceux dont la tempête à laminé le corps.
La parole du vent, le silence des steppes
Ont travaillé ma peau pour y creuser l’orage
Mais je sais la maison d’Aldonza la païenne
Et si un jour, demain, je ne me sens plus d’âge,
J’irai me reposer près de sa méridienne.
Sous sa tonnelle d’or j’éplucherai les cèpes
Et nous rirons tous deux du spectre de la mort
Dont nous avons foulé les étendards sanglants
Commentaires
Va petit mousse, le vent te pousse, au gré é des flots, tsouin, tsouin !
Et dire que tu nous offres de beaux poèmes et que je dis des bêtises !
Oh ! la vilaine !
Jolie goélette ma foi !
L'originale ferait un magnifique terrain de jeux pour photographe !
Je veux bien être invitée à bord mais pas équipière (trop de vernis !)
@Marotte : Mais non, c'est très bien. Il faut aimer la poésie mais jamais ne se prendre (trop) au sérieux !
@La Dame de nage : tu devrais bien trouver ton bonheur à Brest, Saint-Malo ou Douarnenez ? J'imagine que tu as déjà dû aller traîner tes guêtres (auxquelles ne manque pas un bouton !) par là ?