Les voiliers de Belle-Île-en-Mer le 13 mai 2010 (3)

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Tous les vins de la France au palais du pacha
Peuvent nourrir les flots du plus large des fleuves,
Aucun Eldorado n’arrête ma jument.
L’aventure est le seul palliatif à ma rage.

Mais je sais la douceur d’Aldonza la païenne,
Sa main parmi les fleurs, le plus doux voisinage
Qu’on puisse imaginer – Diantre ! – une magicienne.

Et si je brûle encore d’en découdre vraiment
Ce n’est pas par amour obstiné de l’épreuve
C’est que je crains d’aller me perdre en sa datcha

Commentaires

1. Le vendredi 28 mai 2010, 18:54 par marotte

C'est le Bateau Fantôme !

2. Le dimanche 30 mai 2010, 21:50 par Joe Krapov

L'argent est le Wagner de la guerre !