Le petit matin cotonneux à Redon le 26 octobre 2008 (4)
Par Joe Krapov le mardi 28 octobre 2008, 21:13 - Lien permanent
Un superbe texte de Cédille illustre parfaitement cette image ci : allez donc le lire chez nos ami(e)s des Impromptus
Par Joe Krapov le mardi 28 octobre 2008, 21:13 - Lien permanent
Commentaires
Bonjour Joe,
C'est gentil de me faire de la pub mais il sera difficile de faire sortir une timide de sa cage, d'autant que la timide n'a rien écrit qui vaille le détour. Mon texte n'est rien d'autre qu'un brouillon et je n'ai respecté aucune des règles exigeantes de l'art poétique. Je me suis même assise lourdement sur la prosodie et la versification.
On peut dire qu'il y a un semblant de musicalité (mais je suis musicienne), pour le reste je dirais que c'est mignonnet, gentillet et un peu mièvre ! Soyons lucide sur nous-mêmes !
Quant à ta photo, c'est là qu'est la poésie, dans le flou et la tranquillité du petit jour, j'ai même réussi à entendre le croassement d'un corbeau ! Il suffit de savoir regarder, ce regard-là, je ne l'ai pas hélas !
bon dieu qu'elle est belle cette photo !
Cédille > c'est dommage de déprécier ainsi ton texte, même écrit en 5 minutes (où est le problème !), il est réellement bien
mais probablement que personne, ni aucun des commentaires positifs sur le site ne saurait t'en convaincre.....
Il y a quelque chose de curieux dans cette photo que je trouve également très belle. C'est la dissymétrie de la scène: les rayons du soleil frappent l'objectif directement mais ne se reflètent pas (encore) dans l'eau car ils sont cachés par les arbres. Quelques secondes plus tard, c'eût été différent.
Effectivement. Mais sur la photo n° 2 de cette page, prise juste un peu avant, le soleil se reflète déjà. C'est bien l'ombre du bosquet qui cache son reflet. Je n'ai pas attendu plus car j'étais en train d'écrabouiller la baguette et les croissants !
>Tisseuse : Merci beaucoup. Je vais quand même réessayer de convaincre Cédille si elle revient par ici ou du moins dire très vite le fond de ma pensée
>Cédille : Il ne faut jamais dire ce qui se passe dans la cuisine de l'écrivain-pâtissier. L'important c'est la tête réjouie des convives au moment où tu amènes le gâteau et s'il y en a ne serait-ce qu'un ou une dans le tas qui se pourlèche les babines, alors c'est que, et pour lui-elle, et pour toi, c'est bon : l'échange a eu lieu !
c'est des coups à se faire moine ou curé, des vues comme celle-ci...
rien que pour porter l'aube, pardi!
Excellent ! A l'abbaye de Solesmes par exemple, que j'ai beaucoup photographiée et qui est posée au bord de la Sarthe, rivière tout aussi sereine que celle-ci : http://jeanpaul.legrand.free.fr/Sab...